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~Narration externe~
Il était à présent très tard, la nuit planait sur l'immense ville. Un léger vent faisait valser les feuilles des arbres en un ballet mélodieux. Le bruit de la circulation s'était condensé. Tout devenait enfin calme...
Le jeune Tom, pelotonné sous les couvertures, ne dormait pas malgré l'heure très tardive. Il était resté dans sa chambre toute la journée sans qu'on ne s'en préoccupe réellement. Sa mère était passée régulièrement afin de s'assurer que tout allait bien, et semblait en être convaincue. Mais rien n'allait non. Son frère n'était pas avec lui, il y avait-il des raisons d'aller bien? Certainement pas.
Le bel enfant rêvait d'évasion, de sortir de cet enfer dans lequel il se trouvait. Tout seul, il savait pertinemment qu'il ne pouvait lutter contre le mal que formaient ses parents. Sa mère n'était certes pas vraiment fautive, mais souhaitait à tout prix conserver ce malheureux secret. Elle faisait durer le silence. Pourtant, Sullivan s'était jeté dans la cage aux fauves pour la pousser à se sortir de cette violence. Il s'était sacrifié jusqu'à frôler la mort, peut-être la connaîtrait-il. Mais les choses n'avançaient pas. L'état de son fils ne suscitait aucune réflexion de sa part. Ça en devenait pitoyable. Elle avait beau se comportait comme une mère exemplaire, elle n'en était aucunement une. Elle se cachait derrière un voile, et Tom attendait avec impatience qu'il tombe, ayant compris certaines choses malgré son jeune âge.
Son ours en peluche serré contre lui, fixant la fenêtre éclairée par la faible lumière des lampadaires, Tom tergiversait,se tournant maintes et maintes fois sous les draps. Il n'arrivait pas à trouver le sommeil, pourtant mort de fatigue. Morphée le guettait de là-haut, sans grande conviction.
L'absence de son frère était une énorme souffrance. Un grand vide s'émancipait en lui, fissurant son cœur déjà comblé de failles. La vie était pleine de désintérêt sans lui. Il était son exemple, ce qu'il aimerait devenir en grandissant. L'amour qu'il lui portait était insaisissable, fusionnel. Le lien qui les unissait allait au delà de simples frères,c'était inexplicable. Comme si c'était Sullivan qui l'avait conçu. Il remplaçait son géniteur, lui qui les haïssait à un point inimaginable. De cette façon, le petit Tom se sentait un minimum couvé, et retrouvait une joie d'enfant petit à petit. Il avait au moins quelqu'un sur qui compter.Ayant soudain décidé de mettre son plan à exécution, le jeune garçon se leva discrètement, sa peluche sous le bras et enfila ses sandales à scratch noires. Qui remarquerait sa disparition au fil de la nuit de toute façon? Sa mère était sans doute persuadée qu'il dormait à poings fermés à cette heure-ci. Il était temps de passer à l'action. Tom enfila une fine parka verte sous son pyjama rouge, puis se dirigea vers la fenêtre. Il l'ouvrit, puis passa sa tête à travers, s'assurant que la hauteur n'était pas très importante. Une chance de posséder sa chambre au rez de chaussé. Il escalada le rebord en s'aidant de ses genoux, puis sauta maladroitement.
Il atterrit dans les buissons juste en dessous, s’éraflant les mains. Il plissa le front sous la douleur et gémit mais ne perdit pas son temps et marcha tête baissée, d'un pas rapide, sachant exactement la direction dans laquelle il souhaitait s'orienter. Connaissant le chemin du bout des doigts, il s'enfonça dans l'obscurité des ténèbres.
L’hôpital se dessina au loin une dizaine de minutes plus tard, c'était le seul bâtiment qui semblait en vie, et qui ne dormait jamais. Tout y était allumé à l’intérieur. Lieu de joie comme de pleurs, les humeurs étaient diverses et variées.
Enfin arrivé, le garçonnet y pénétra, se dirigeant vers la chambre de son frère. Dans quelques secondes il sera avec lui, là où il était censé être depuis toujours d'après lui.
Tom utilisa l’ascenseur, et comme prévu, rentra dans la pièce où se trouvait Sullivan sans qu'aucune infirmière ne se doute de quelque chose. Il grimpa sur son lit d’hôpital, arborant un beau sourire, heureux de le retrouver. La joie était de nouveau présente, autant que la peur, mais enfouie au plus profond de lui. La culpabilité d'être loin de lui alors qu'il en avait besoin s'envolait. Si son frère venait à mourir, au moins il aura été là. Le jeune enfant se sentait toujours autant coupable de l'état de son frère, et essayait de se rattraper comme il le pouvait, atténuant sa faute en lui tenant compagnie. C'est tout ce qu'il était en son pouvoir en cet instant même.
Il s'allongea alors à ses cotés, agrippant son bras, et ferma les yeux, rassuré par la simple présence de son frangin. Il avait enfin trouvé le sommeil...
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~Narration externe~
«Hey! Comment ça va? ;)». Un simple sms. Un texte avec un air de rien, amical. Mais un sms que le jeune Jesse hésitait à envoyer par peur de déranger. Il se demandait si il ne la réveillerait pas avec ce message importun à seulement huit heure du matin. Après tout, peut-être dormait-elle encore, et n'avait pas mis son terminal sur silencieux. Ce genre de dilemme n'en finissait pas. Des tas des questions tourbillonnaient dans son esprit.
Et puis il ne la connaissait pas réellement, et l'avait côtoyé une vingtaine de minutes. Ce n'était pas assez pour se prétendre «ami» avec elle. Ce n'était qu'une simple connaissance, rien de plus, rien de moins. Pourtant, il était impatient de la revoir, de la connaître. Elle possédait une certaine douceur et prestance que les autres jeunes filles n'avaient pas d'après lui. Cette demoiselle était unique à ses yeux. Et il souhaitait davantage approfondir leur relation.
De la fragilité émanait également de sa personne, rien ne semblait tourner rond dans son monde, malgré un sourire qui masquait une certaine douleur. Jesse savait détecter certaines souffrances, aussi béante étaient-elles. La jeune fille était confrontée à un énorme manque de confiance en elle, de quoi pouvait-il en découler? Elle était de plus, sur la défensive, et repliée sur elle même. Elle ne devait pas avoir eu une vie facile d'après le beau brun.
Mais ces songes ne résolvaient pas le problème qui se posait. La question était toujours la même. Jesse se compliquait les choses alors qu'il n'y avait pas de quoi se tourmenter. Il prenait trop la vie au sérieux, anticipant les conséquences afin de ne pas être confronté à de trop gros problèmes. Il était à la recherche du bonheur, et souhaitait minimiser les peines que pouvait lui apporter la vie. Mais à la place, il se laissait torturer par quelques tourments minuscules.
Fixant son cellulaire depuis déjà un moment, tapotant sur l'écran, il n'arrivait pas à se décider. Une partie de lui disait «Envoie, ne crains rien!» et une autre le sermonnait du contraire. Son cerveau en devenait brouillé. Son doigts s'approchait de la touche «envoyer», et son cœur fit un bond, ce qui le mettait dans une étrange situation. Au pire, que craignait-il en la contactant? Absolument rien.
Le jeune homme attarda son regard sur le prénom de cette destinataire et son visage lui revint en mémoire. Cette rencontre l'avait enjoué plus qu'il ne l'avait imaginé...
-Bien dormi grand frère? Le fit sursauter sa frangine, à l’entrebâillement de la porte. Ce dernier se retourna vers elle.
-Comme un bébé. Et toi? Sourit-il, envoyant finalement le sms sur un coup de tête.
-Ça peut aller pour une gueule de bois.
-Il va falloir que tu assumes un jour et que t'arrêtes de venir squatter chez moi tu crois pas?
-Hum..tu connais maman.. Privé de sortie comme lorsque j'avais 12 ans Jess'..soupira la jeune blonde, lassée.
-Meuh non, elle râlera au début, et ensuite elle te laissera faire en voyant que t'es devenue une grande fille.
-C'est cela. Leva-t'-elle les yeux au ciel, écoutant à moitié ce que lui déblatérait son frère.
-Roh Tiara... j'ai pas pris un appart' pour que tu prennes des cuites et salissent ma salle de bain de tes tripes! Je fais le ménage moi je te signale!
-Mais c'est bon, pas la peine de t'emballer tout seul!
-Je m'emballe pas, juste que t'es irresponsable et immature! Tu penses qu'à faire la belle, et c'est tout! Vociféra-t'il, lui balançant ses quatre vérités à la figure.
-N'importe quoi! Juste qu'en ce moment c'est compliqué!
-Mais bien sûr, et te noyer dans l'alcool ça va faire avancer les choses peut-être! Change toi les idées autrement ou tu vas finir alcoolique. Et je sais ce que je dis. La fixa t'il dans les yeux, sa colère décuplant au fur et à mesure qu'il parlait. Tiara semblait avoir compris ce qu'il souhaitait faire passer comme message, et se tut, ne trouvant plus les mots.
-Je..ok..tu as raison...abdiqua la jeune blonde, baissant la tête après une bonne dizaine de secondes.
-Aller viens là..lui ouvrit-il ses bras. Elle alla s'y caler à l’intérieur, appuyant sa tête contre son torse et ferma les yeux. Il passa ses mains dans ses cheveux, posant un tendre baiser sur son front.
-Je t'aime Jess'...
-Moi aussi ma puce, moi aussi...
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~Narration externe~
-Kyio? Héla la jeune Gabrielle, pénétrant dans l'appartement de son ami, visiblement inquiète par le manque de nouvelles de ces derniers jours. La porte était déverrouillée, et la demoiselle en avait profiter pour s’immiscer à l’intérieur. Certainement un oubli de sa part, rien de bien méchant.
La jolie châtain tiqua à la vue du désordre, et de l'état imminent de l'entrée qui donnait sur le séjour. Des bouteilles de bière jonchaient le sol, des restes de mégot les accompagnaient et un tas de poussières résidait sur les étagères, bibelots et autres objets, aussi futiles étaient-ils. Kyio était loin d'être maniaque, mais il y avait des limites. Une odeur nauséabonde de renfermé régnait, apparemment les fenêtres n'avaient pas été ouvertes depuis un certain temps maintenant. Gabrielle s'aventura dans cette «porcherie», soulevée par l'effroyable senteur. Elle se dirigea instinctivement vers la chambre du concerné, et fut quelque part rassurée de l'y trouver. Au moins il était en vie, c'était le principal.
-Kyio... Souffla-t'-elle , se précipitant à ses cotés.
Le silence répondit à sa place. La voix de Gabrielle faisait écho dans l'insalubre pièce. Quelques posters de femmes dénudées et maquillées comme des voitures volées trônaient sur les murs. Tout était aussi poussiéreux que le reste de l'appartement. Des CD, chaussettes et autres vêtements comblaient la moquette tachée de divers breuvages. La penderie débordait, tout menaçait de s'écrouler à terre par un simple tremblement du sol. Aussi, le lit n'était recouvert que d'une housse de couette froissée et souillée elle aussi.
Le jeune homme était adossé au mur,assis sur son lit, n'ayant émis aucun geste à l'arrivée de son amie. Il paraissait ailleurs, dans un autre monde, son monde. Plongé dans un mutisme, même ses iris ne bougeaient pas, seules ses paupières se fermaient à un rythme intermittent. La solitude semblait lui suffir. Mais la jeune femme ne demeurait pas de cette avis là.
Cette dernière s'installa à ses cotés, en tailleur et l'embrassa sur la joue en signe de salutation, mais également d'affection. Pas de réaction. Cela ne la découragea pas. Elle patienta quelques minutes, que son ami daigne de lui témoigner de l’intérêt,mais rien non plus. Que fallait-il faire pour qu'il réagisse d'une quelconque façon? Gabrielle n'avait jamais vu ce genre d'attitude chez lui, et s'en retrouva fortement surprise. Peu importe, face à ce comportement, elle n'allait pas décamper de sitôt.
-Je t'en supplie Kyio dis quelque chose...
Aucune réponse. La demoiselle se trouvait face à un mur d'une froideur jusque là encore inconnue. Cela devenait frustrant. Que s'était-il passé pour qu'il soit dans un tel état d'immobilité? Elle le fixa un long instant, ayant pour but de le déstabiliser, en vain. Il restait une dernière tentative: le secouer. Gabrielle misa tout sur cette idée et ne perdit pas une minutes de plus. Celle-ci s'agenouilla, le prit par les épaules et en deux temps trois mouvements, l'agita tel un misérable chiffon. Avec un poids inférieur à celui de Kyio, la tâche était difficile, il fallait redoubler de force pour arriver à le remuer aussi remarquablement.
-Gab' arrête s'il te plaît...Lacha-t'il soudainement, d'un ton fané, reflétant sa tristesse.
«Hallelujah!» jubila la jeune femme intérieurement. Elle opina tandis qu'il leva la tête en sa direction. Il semblait revenu à la réalité.
-Et si tu me disais ce qu'il ne va pas..? Lui demanda son interlocutrice, soucieuse de son état.
-Pas envie...
-Tu as besoin d'en par...
-Tu ne sais pas ce dont j'ai besoin. La coupa le jeune blond avec désinvolture, aussi sèchement qu'il le pouvait. Il voulait qu'elle parte, qu'elle le laisse tranquille avec sa déchéance. Avoir une épaule sur laquelle pleurer ne lui invoquer que faiblesse et pitié. Être faible selon lui ne le représentait pas. Il n'avait pas le droit de l'être. C'était un homme, et l'Homme se devait d'être fort en toute circonstance. C'était un être viril, invulnérable, au cœur de pierre. Tout ce qu'avait du mal à devenir Kyio avec les tourments qui ponctuait sa vie. La souffrance, le déchirement ne le laissait jamais en paix décidément.
Cette réplique fit soupirer la demoiselle, blasée. Sa joie retomba aussi vite qu'elle était apparue. Elle avait affaire à une vraie tête de mule. Contrairement à ce qu'il croyait, la demoiselle était certaine qu'il avait besoin d'aide. Il refusait juste de l'accepter.
-Certes. Répliqua-t'-elle, ne voulant le contrarier davantage. Peut-être que de ce fait, il se montrerait plus coopératif.
Un ange passa. Puis un deuxième. Une ribambelle leur emboîta le pas. Les bouches étaient redevenues closes, et le souffle des deux jeunes gens faisait office de bruit de fond. Kyio était sur la défensive, agacé par la curiosité de son amie. Et la concernée avait préféré battre en retraite afin de ne pas irriter ce dernier. Elle ne désirait pas juste connaître les raisons de sa mélancolie, mais bel et bien l'aider à remonter à la surface. Il fallait juste qu'il admette qu'une épaule sur laquelle se reposer serait plus judicieux pour revenir à une sensation de bien-être. Être seul ne lui fera que broyer du noir, rien de mieux pour le moral.
Dans un élan de fébrilité, Gabrielle entoura sa main de la sienne, avec la volonté de lui communiquer un peu de réconfort. Sa paume était chaude, aux antipodes du corps du bel apollon. Il possédait une peau comparable à celle d'un jeune bambin,comme si il n'avait jamais réellement grandis.
Contre toute attente, Kyio lui prit la main, la croisant dans la sienne et la serrant d'une puissance égale à son accablement. Il réclamait tout de même sa présence à ses cotés. Il tenait à elle bien plus qu'il le pensait. Son geste s'était effectué machinalement, son inconscience avait pris le dessus sur sa raison. Son amie lui sourit, le laissant faire, appréciant chaleureusement l'instant présent. Il s'était enfin résolu à avoir besoin d'elle apparemment. C'était une douce victoire à savourer. La demoiselle en profita alors pour lui effleurer tendrement la joue de sa main libre, et le jeune homme ferma les yeux, choyé, se délectant de ce bonheur instantané. Elle la fit remonter vers sa chevelure, écartant ses doigts, tel un fin peigne, continuant d'arborer ce merveilleux sourire, répétant son geste encore et encore.
Le blondinet posa lentement la sienne sur la taille de son amie, rapprochant son visage du sien. En ouvrant à moitié les yeux, il se rendit compte que les siens étaient clos. Il l'imita alors, avançant doucement sa frimousse vers la sienne, frôlant ses lèvres pulpeuses, dont il avait tant envie de s'emparer. Le désir prenait le contrôle de son corps tout entier, une certaine chaleur dégageait à présent de lui. La tentation était démesurée. Sans prendre le temps de réfléchir, il s'élança, et accapara ce dont il convoitait tant. Sa partenaire participa à cet échange goulûment, plaçant ses mains derrière son cou afin de donner plus de profondeur à se baiser. Son amant l'enlaça, la plaquant contre lui avec finesse instinctivement. Leurs bouches fusionnèrent avec perfection, tandis que leurs langues se mêlaient à une danse sensuelle. Les minutes passèrent, sans que l'un ou l'autre ne veuille se détacher. Épris d'une violente passion, ils s'engageaient à consumer cette envie qui les dévorait.
Puis soudain, la raison revint à Gabrielle. Troublée, elle s'écarta du jeune homme et se releva aussitôt.
-Je..désolée...il faut que j'y aille. Trancha-t'-elle, honteuse. Elle sortit précipitamment de la pièce, puis quelques secondes plus tard la porte de l'entrée claqua, sans laisser le temps à Kyio de dire quoi que ce soit. Ce dernier, bousculé par ce vif événement, ne savait comment réagir...
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Qui suis-je?
Alors moi c'est Anaïs, j'ai 16 ans et je vis aux alentours de Grenoble (Isère). Je suis dans le monde de l'écriture depuis plus de 3 ans (je ne sais plus exactement). Ma toute première histoire s'est construite à l'aide des Sims 2, c'était un vrai gachis xD J'ai tenté d'écrire de nouvelles histoires avec ce jeu, mais finis par toutes les abandonner. Et maintenant je reviens avec FYAL, et suis plus que motivée à la terminer. Etant donné qu'il n'y a plus à illustrer mes textes, la motivation est bien présente! :D
Sinon je suis en 1ère S (vive les maths, aie aie aie!) à la rentrée, et j'aimerai dans une vie future faire carrière dans la medecine, mais plutôt dans un hopital qu'en libéral. ^^
Autrement je pratique de l'athlétisme depuis plus de 5 ans, j'adore ça! Je suis specialisée en sprint (100m et 200m), et dés que possible j'espère reprendre la longueur, si mon emploi du temps me le permet.Apparemment, je suis plutôt douée dans ce sport selon mes proches (sans me vanter bien sûr). Je suis allée en championnat de France une fois déjà.A coté de tout ces loisirs, je lis également, afin d'essayer d'ameliorer ma plume comme je le peux. J'aime les romances et les drames (c'est pas pour rien qu'il y en a dans mes histoires xD).
Niveau personnalité je dirais que je ne suis pas une fille difficile. Je suis perfectionniste (éternelle insatisfaite xD), patiente, timide, et je manque constamment de confiance en moi. J'aime être entourée de beaucoup de personnes, et fais confiance aveuglément parfois.Sinon je suis une vraie bordélique, rien n'est jamais bien rangé, autrement je ne m'y retrouve plus xD
Physiquement, rien de bien exceptionnel, je suis brune aux yeux marrons/verts, et plutôt petite (pas plus de 1m60).
Voilà voilà ^^